Dans sa démarche de quête des origines, Kouka a délaissé un temps ses fameux guerriers pour remonter encore plus loin dans ses racines en s’attaquant au thème des arbres. Matthieu Dagorn, de son côté, bien connu pour ses masques, présente d’étonnantes ondulations de la couleur.
La nature nous apparaît ici au travers du regard croisé d’hommes et de femmes qui recourent à des techniques bien différentes pour aborder ce thème, et c’est ce qui fait toute la richesse de cette exposition à voir jusqu’au 4 février.